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Thursday, October 3, 2013

Les Etoiles_ (NHỮNG VÌ SAO)

LES ÉTOILES (1) 
( Récit d'un berger provençal )



Berger et bergère dans un paysage

Ecole française du 18ème
Suiveur de François Boucher



-Vanessa Mae - at the Birmingham Symphony Hall 1997 - Classical Violinist :



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                                  Le berger et la montagne


        -VIDEO : Les Etoiles  par ALPHONSE DAUDET :




"Du temps que je gardais les bêtes sur le Luberon (...)" . Ainsi commence le récit d'un vieux berger provençal qui raconte comment la fille de ses maîtres, la jolie Stéphanette, dont il était épris, passa avec lui une nuit sur la montagne du Luberon et apprit, après l'orage, au moment où le ciel redevient clair, qu'il y a aussi des mariages d'étoiles. Sur un texte d'Alphonse DAUDETINTERPRETE par Robert RIPA, Cécile PAOLI et Marc de NEGRI. Images d'archive INA
Institut National de l'Audiovisuel
http://www.ina.fr





Les Étoiles, des "Lettres de mon moulin" d'Alphonse Daudet ; édition E. Flammarion, 1904 ; illustrations de José Roy et Gustave Fraipont





LES ÉTOILES.

récit d’un berger provençal

Du temps que je gardais les bêtes sur le Luberon, je restais des semaines entières sans voir âme qui vive, seul dans le pâturage avec mon chien Labri et mes ouailles. De temps en temps l’ermite du Mont-de-l’Ure passait par là pour chercher des simples ou bien j’apercevais la face noire de quelque charbonnier du Piémont ; mais c’étaient des gens naïfs, silencieux à force de solitude, ayant perdu le goût de parler et ne sachant rien de ce qui se disait en bas dans les villages et les villes. Aussi, tous les quinze jours, lorsque j’entendais, sur lechemin qui monte, les sonnailles du mulet de notre ferme m’apportant les provisions de quinzaine, et que je voyais apparaître peu à peu, au-dessus de la côte, la tête éveillée du petit miarro (garçon de ferme), ou la coiffe rousse de la vieille tante Norade, j’étais vraiment bien heureux. Je me faisais raconter les nouvelles du pays d’en bas, les baptêmes, les mariages ; mais ce qui m’intéressait surtout, c’était de savoir ce que devenait la fille de mes maîtres, notre demoiselle Stéphanette, la plus jolie qu’il y eût à dix lieues à la ronde. Sans avoir l’air d’y prendre trop d’intérêt, je m’informais si elle allait beaucoup aux fêtes, aux veillées, s’il lui venait toujours de nouveaux galants ; et à ceux qui me demanderont ce que ces choses-là pouvaient me faire, à moi pauvre berger de la montagne, je répondrai que j’avais vingt ans et que cette Stéphanette était ce que j’avais vu de plus beau dans ma vie.
Or, un dimanche que j’attendais les vivres de quinzaine, il se trouva qu’ils n’arrivèrent que très tard. Le matin je me disais : « C’est la faute de la grand’messe ; » puis, vers midi, il vint un gros orage, et je pensai que la mule n’avait pas pu se mettre en route à cause du mauvais état des chemins. Enfin, sur les trois heures, le ciel étant lavé, la montagne luisante d’eau et de soleil, j’entendis parmi l’égouttement des feuilles et le débordement des ruisseaux gonflés les sonnailles de la mule, aussi gaies, aussi alertes qu’un grand carillon de cloches un jour de Pâques. Mais ce n’était pas le petit miarro, ni la vieille Norade qui la conduisait. C’était… devinez qui !… notre demoiselle, mes enfants ! notre demoiselle en personne, assise droite entre les sacs d’osier, toute rose de l’air des montagnes et du rafraîchissement de l’orage.
Le petit était malade, tante Norade en vacances chez ses enfants. La belle Stéphanette m’apprit tout ça, en descendant de sa mule, et aussi qu’elle arrivait tard parce qu’elle s’était perdue en route ; mais à la voir si bien endimanchée, avec son ruban à fleurs, sa jupe brillante et ses dentelles, elle avait plutôt l’air de s’être attardée à quelque danse que d’avoir cherché son chemin dans les buissons. Ô la mignonne créature ! Mes yeux ne pouvaient se lasser de la regarder. Il est vrai que je ne l’avais jamais vue de si près. Quelquefois l’hiver, quand les troupeaux étaient descendus dans la plaine et que je rentrais le soir à la ferme pour souper, elle traversait la salle vivement, sans guère parler aux serviteurs, toujours parée et un peu fière… Et maintenant je l’avais là devant moi, rien que pour moi ; n’était-ce pas à en perdre la tête ?
Quand elle eut tiré les provisions du panier, Stéphanette se mit à regarder curieusement autour d’elle. Relevant un peu sa belle jupe du dimanche qui aurait pu s’abîmer, elle entra dans le parc, voulut voir le coin où je couchais, la crèche de paille avec la peau de mouton, ma grande cape accrochée au mur, ma crosse, mon fusil à pierre. Tout cela l’amusait.
— Alors c’est ici que tu vis, mon pauvre berger ? Comme tu dois t’ennuyer d’être toujours seul ! Qu’est-ce que tu fais ? À quoi penses-tu ?…
J’avais envie de répondre : « À vous, maîtresse, » et je n’aurais pas menti ; mais mon trouble était si grand que je ne pouvais pas seulement trouver une parole. Je crois bien qu’elle s’en apercevait, et que la méchante prenait plaisir à redoubler mon embarras avec ses malices :
— Et ta bonne amie, berger, est-ce qu’elle monte te voir quelquefois ?… Ça doit être bien sûr la chèvre d’or, ou cette fée Estérelle qui ne court qu’à la pointe des montagnes…
Et elle-même, en me parlant, avait bien l’air de la fée Estérelle, avec le joli rire de sa tête renversée et sa hâte de s’en aller qui faisait de sa visite une apparition.
— Adieu, berger.
— Salut, maîtresse.
Et la voilà partie, emportant ses corbeilles vides.
Lorsqu’elle disparut dans le sentier en pente, il me semblait que les cailloux, roulant sous les sabots de la mule, me tombaient un à un sur le cœur. Je les entendis longtemps, longtemps ; et jusqu’à la fin du jour je restai comme ensommeillé, n’osant bouger, de peur de faire en aller mon rêve. Vers le soir, comme le fond des vallées commençait à devenir bleu et que les bêtes se serraient en bêlant l’une contre l’autre pour rentrer au parc, j’entendis qu’on m’appelait dans la descente, et je vis paraître notre demoiselle, non plus rieuse ainsi que tout à l’heure, mais tremblante de froid, de peur, de mouillure. Il paraît qu’au bas de la côte elle avait trouvé la Sorgue grossie par la pluie d’orage, et qu’en voulant passer à toute force elle avait risqué de se noyer. Le terrible, c’est qu’à cette heure de nuit il ne fallait plus songer à retourner à la ferme ; car le chemin par la traverse, notre demoiselle n’aurait jamais su s’y retrouver toute seule, et moi je ne pouvais pas quitter le troupeau. Cette idée de passer la nuit sur la montagne la tourmentait beaucoup, surtout à cause de l’inquiétude des siens. Moi, je la rassurais de mon mieux :
— En juillet, les nuits sont courtes, maîtresse… Ce n’est qu’un mauvais moment.
Et j’allumai vite un grand feu pour sécher ses pieds et sa robe toute trempée de l’eau de la Sorgue. Ensuite j’apportai devant elle du lait, des fromageons ; mais la pauvre petite ne songeait ni à se chauffer, ni à manger, et de voir les grosses larmes qui montaient dans ses yeux, j’avais envie de pleurer, moi aussi.
Cependant la nuit était venue tout à fait. Il ne restait plus sur la crête des montagnes qu’une poussière de soleil, une vapeur de lumière du côté du couchant. Je voulus que notre demoiselle entrât se reposer dans le parc. Ayant étendu sur la paille fraîche une belle peau toute neuve, je lui souhaitai la bonne nuit, et j’allai m’asseoir dehors devant la porte… Dieu m’est témoin que, malgré le feu d’amour qui me brûlait le sang, aucune mauvaise pensée ne me vint ; rien qu’une grande fierté de songer que dans un coin du parc, tout près du troupeau curieux qui la regardait dormir, la fille de mes maîtres, — comme une brebis plus précieuse et plus blanche que toutes les autres, — reposait, confiée à ma garde. Jamais le ciel ne m’avait paru si profond, les étoiles si brillantes… Tout à coup, la claire-voie du parc s’ouvrit et la belle Stéphanette parut. Elle ne pouvait pas dormir. Les bêtes faisaient crier la paille en remuant, ou bêlaient dans leurs rêves. Elle aimait mieux venir près du feu. Voyant cela, je lui jetai ma peau de bique sur les épaules, j’activai la flamme, et nous restâmes assis l’un près de l’autre sans parler. Si vous avez jamais passé la nuit à la belle étoile, vous savez qu’à l’heure où nous dormons, un monde mystérieux s’éveille dans la solitude et le silence. Alors les sources chantent bien plus clair, les étangs allument des petites flammes. Tous les esprits de la montagne vont et viennent librement ; et il y a dans l’air des frôlements, des bruits imperceptibles, comme si l’on entendait les branches grandir, l’herbe pousser. Le jour, c’est la vie des êtres ; mais la nuit, c’est la vie des choses. Quand on n’en a pas l’habitude, ça fait peur… Aussi notre demoiselle était toute frissonnante et se serrait contre moi au moindre bruit. Une fois, un cri long, mélancolique, parti de l’étang qui luisait plus bas, monta vers nous en ondulant. Au même instant une belle étoile filante glissa par-dessus nos têtes dans la même direction, comme si cette plainte que nous venions d’entendre portait une lumière avec elle.
— Qu’est-ce que c’est ? me demanda Stéphanette à voix basse.
— Une âme qui entre en paradis, maîtresse ; et je fis le signe de la croix.
Elle se signa aussi, et resta un moment la tête en l’air, très recueillie. Puis elle me dit :
— C’est donc vrai, berger, que vous êtes sorciers, vous autres ?
— Nullement, notre demoiselle. Mais ici nous vivons plus près des étoiles, et nous savons ce qui s’y passe mieux que des gens de la plaine. 
Elle regardait toujours en haut, la tête appuyée dans la main, entourée de la peau de mouton comme un petit pâtre céleste :
— Qu’il y en a ! Que c’est beau ! Jamais je n’en avais tant vu… Est-ce que tu sais leurs noms, berger ?
— Mais oui, maîtresse… Tenez ! juste au-dessus de nous, voilà le Chemin de saint Jacques (la voie lactée). Il va de France droit sur l’Espagne. C’est saint Jacques de Galice qui l’a tracé pour montrer sa route au brave Charlemagne lorsqu’il faisait la guerre aux Sarrasins[1]. Plus loin, vous avez le Char des âmes(la grande Ourse) avec ses quatre essieux resplendissants. Les trois étoiles qui vont devant sont les Trois bêtes, et cette toute petite contre la troisième c’est leCharretier. Voyez-vous tout autour cette pluie d’étoiles qui tombent ? ce sont les âmes dont le bon Dieu ne veut pas chez lui… Un peu plus bas, voici le Râteauou les Trois rois (Orion). C’est ce qui nous sert d’horloge, à nous autres. Rien qu’en les regardant, je sais maintenant qu’il est minuit passé. Un peu plus bas, toujours vers le midi, brille Jean de Milan, le flambeau des astres (Sirius). Sur cette étoile-là, voici ce que les bergers racontent. Il paraît qu’une nuit Jean de Milan, avec les Trois rois et la Poussinière (la Pléiade), furent invités à la noce d’une étoile de leurs amies. La Poussinière, plus pressée, partit, dit-on, la première, et prit le chemin haut. Regardez-la, là-haut, tout au fond du ciel. LesTrois rois coupèrent plus bas et la rattrapèrent ; mais ce paresseux de Jean de Milan, qui avait dormi trop tard, resta tout à fait derrière, et furieux, pour les arrêter, leur jeta son bâton. C’est pourquoi les Trois rois s’appellent aussi leBâton de Jean de Milan... Mais la plus belle de toutes les étoiles, maîtresse, c’est la nôtre, c’est l’Étoile du berger, qui nous éclaire à l’aube quand nous sortons le troupeau, et aussi le soir quand nous le rentrons. Nous la nommons encore Maguelonne, la belle Maguelonne qui court après Pierre de Provence(Saturne) et se marie avec lui tous les sept ans.
— Comment ! berger, il y a donc des mariages d’étoiles ?
— Mais oui, maîtresse.
Et comme j’essayais de lui expliquer ce que c’était que ces mariages, je sentis quelque chose de frais et de fin peser légèrement sur mon épaule. C’était sa tête alourdie de sommeil qui s’appuyait contre moi avec un joli froissement de rubans, de dentelles et de cheveux ondés. Elle resta ainsi sans bouger jusqu’au moment où les astres du ciel pâlirent, effacés par le jour qui montait. Moi, je la regardais dormir, un peu troublé au fond de mon être, mais saintement protégé par cette claire nuit qui ne m’a jamais donné que de belles pensées. Autour de nous, les étoiles continuaient leur marche silencieuse, dociles comme un grand troupeau ; et par moments je me figurais qu’une de ces étoiles, la plus fine, la plus brillante, ayant perdu sa route, était venue se poser sur mon épaule pour dormir…


(1) - Extrait des “Lettres de mon Moulin” d'Alphonse Daudet (1840-1897). Ce récit a paru d'abord dans le journal “Le Bien public”, en 1873 (8 avril). Il fut recueilli dans “Robert Helmont” (1874) d'où il fut retiré pour être joint à l'édition définitive des “Lettres de mon Moulin” (1879).




-VIDEO :Don McLean - Vincent ( Starry, Starry Night)






CONSTELLATION




NHỮNG VÌ SAO (1)
( Lời thuật chuyện của một gã chăn cừu xứ Provence )
Tác giả : ALPHONSE DAUDET
Bản dịch Việt ngữ : TRÚC HUY


Trong thời gian tôi chăn cừu trên miền núi Luberon (2), có khi suốt mấy tuần lễ liên tiếp tôi không trông thấy một bóng người, chỉ một mình tôi thui thủi trên cánh đồng cỏ với con chó Labri và đàn cừu của tôi. Thỉnh thoảng có vị tu sĩ sống ẩn dật ở núi Ure đi ngang qua đây để tìm kiếm dược thảo hoặc là tôi trông thấy bộ mặt lọ lem dính đầy bụi than của người thợ phu mỏ xứ Piémont, nhưng họ là những người chất phác, khuôn mặt lầm lì vì quen sống lâu ngày trong cảnh cô đơn, không còn hứng thú trò chuyện và chẳng biết gì về những chuyện trong làng ngoài tỉnh mà người ta đang bàn tán ở dưới đó. Vì thế, cứ khoảng mười lăm ngày, khi tôi nghe tiếng lục lạc từ con đường mòn dưới núi đi lên của con la ở nông trại mang lương thực nửa tháng cho tôi, rồi tôi thấy xuất hiện dần dần trên sườn dốc bộ mặt tươi vui của thằng bé miarro (thằng nhỏ giúp việc ở trại) hay chiếc khăn trùm màu hung đỏ của thím già Norade, là tôi cảm thấy trong lòng thật sung sướng vô cùng. Tôi yêu cầu họ kể cho nghe những chuyện xảy ra ở dưới đồng bằng, những buổi lễ rửa tội, những đám cưới hỏi... Nhưng điều mà tôi chú ý và thích nghe hơn cả là biết tin tức về cô con gái cưng của ông bà chủ trại, vị tiểu thư Stéphanette, thiếu nữ xinh đẹp nhất trong toàn vùng. Cố làm ra vẻ như không mấy quan tâm, tôi hỏi thăm xem nàng có hay đi dự nhiều dạ tiệc không, có nhiều chàng trai ngấp nghé tán tỉnh không. Và nếu có ai hỏi tôi muốn biết những chuyện ấy có ích lợi gì cho cái thân phận nghèo hèn của một tên chăn cừu miền núi như tôi, thì tôi sẽ trả lời rằng tôi đang tuổi hai mươi và đối với tôi nàng Stéphanette là người thiếu nữ đẹp nhất trần gian.
Thế rồi, một hôm chủ nhật nọ, tôi cũng chờ đợi chuyến tiếp tế lương thực cho nửa tháng, nhưng sao lần này nó tới muộn quá. Từ buổi sáng, tôi nghĩ bụng : “Có lẽ vì lễ lớn ở nhà thờ đây thôi.” Rồi đến trưa, một trận mưa giông lớn đổ xuống, tôi lại cho rằng vì đường trơn ướt lầy lội, con la chưa thể lên đường được. Mãi cho đến khoảng ba giờ chiều, trời quang mây tạnh, sườn núi lấp lánh nước mưa và ánh sáng mặt trời, tôi bỗng nghe được giữa tiếng nước nhỏ giọt róc rách trên cành lá và tiếng suối reo do nước lũ dâng trào, tiếng lục lạc leng keng của con la, nghe thật là vui tươi rộn ràng chẳng khác gì tiếng chuông nhà thờ đổ hồi trong ngày lễ Phục sinh cả. Nhưng không phải thằng nhỏ ở nông trại, cũng chẳng phải thím già Norade ngồi trên lưng lừa như mọi khi. Mà là... xin bạn thử đoán xem ai ? Chính là vị tiểu thư trại nhà, bạn ạ ! Đúng vậy, vị tiểu thư Stéphanette đích thân đến. Nàng ngồi ngay ngắn trên mình la giữa những chiếc giỏ mây, đôi má ửng hồng vì khí trời của núi và làn gió mát sau trận mưa giông vừa qua.
Thằng nhỏ bị bệnh, còn thím già Norade thì xin nghỉ phép về thăm con. Nàng Stéphanette xinh đẹp vừa từ trên mình la tụt xuống vừa nói cho tôi biết như vậy. Nàng còn nói thêm vì lạc đường cho nên đã đến muộn. Nhưng trông nàng ăn mặc đẹp đẽ như thế kia, trên đầu kết băng hoa và vận chiếc váy lộng lẫy có thêu đăng ten, tôi thấy cô nàng có vẻ như đã nấn ná ham vui trong một cuộc khiêu vũ nào đó hơn là đã dò dẫm tìm đường trong các bụi rậm. Ôi, người đâu mà xinh đẹp lạ thường ! Tôi say đắm nhìn nàng mà không muốn rời mắt. Thật tình mà nói tôi chưa bao giờ có dịp được nhìn ngắm nàng ở gần như thế. Về mùa đông, sau khi đã lùa đàn cừu xuống đồng bằng, tôi về nông trại để dùng cơm tối, thỉnh thoảng tôi thấy nàng đi thoăn thoắt ngang qua phòng ăn của chúng tôi, nhưng chẳng mấy khi nàng nói chuyện với kẻ ăn người ở, luôn luôn trang điểm đẹp đẽ và có vẻ hơi kiêu kỳ một chút... Thế mà bây giờ tôi lại diễm phúc có nàng đứng ngay trước mặt tôi, và chỉ có mình tôi thôi, như vậy thì bảo làm sao tôi không bối rối cho được ?
Sau khi lấy hết lương thực từ trong các giỏ ra, cô nàng bắt đầu tò mò đưa mắt nhìn chung quanh. Nàng vén nhẹ chiếc váy đẹp cho khỏi lấm, bước vào phía bên trong lán, muốn xem chỗ tôi ngủ, chiếc ổ rơm với tấm áo da cừu, cái áo choàng rộng treo trên vách, chiếc gậy, cây súng đá... Tất cả những thứ ấy có vẻ làm cho nàng ngạc nhiên thích thú.
- Thì ra anh ngủ ở đây à, anh mục đồng tội nghiệp của tôi ! Sống một mình như thế này thì chắc là buồn lắm nhỉ ? Hàng ngày anh làm gì ? Anh nghĩ gì ?
Tôi rất muốn trả lời : “Nghĩ đến cô, cô chủ ạ.” Phải nói như thế mới trung thực với lòng mình, nhưng vì bối rối quá nên tôi không nghĩ ra được một lời nói nào. Tôi tin chắc rằng nàng cũng nhận thấy sự bối rối của tôi, nhưng cô nàng tinh nghịch lại lấy đó làm thích thú và cố tình trêu chọc để làm cho tôi càng thêm bối rối :
- Mục đồng ơi, thế cô bạn gái thân thiết của anh có thỉnh thoảng lên đây thăm anh không ? Cô ấy chắc hẳn là con dê cái có bộ lông vàng hay nàng tiên Estérelle chỉ quen nhảy nhót trên các đỉnh núi thôi nhỉ ?
Trong lúc nói chuyện với tôi, chính cô nàng mới có dáng điệu giống như nàng tiên Estérelle, với nụ cười duyên dáng, đầu hơi ngả ra đàng sau và vẻ vội vàng muốn ra về, làm cho cuộc thăm viếng ngắn ngủi của nàng không khác nào một sự xuất hiện bất ngờ.
- Thôi, chào tạm biệt mục đồng nhé.
- Xin chào tạm biệt cô chủ.
Thế là nàng đi mất, mang theo những chiếc giỏ không.
Khi nàng đã khuất dạng sau con đường dốc nhỏ, tôi tưởng chừng như những viên sỏi lăn lóc dưới móng chân la đang rơi từng viên một vào lòng tôi. Tôi còn nghe thấy trong lòng tiếng sỏi rơi như thế mãi cho đến lúc chiều tàn, không dám cử động, chỉ sợ làm tan vỡ giấc mơ đẹp của tôi. Chiều tối xuống dần, khi thung lũng bắt đầu ngả màu xanh lam và đàn súc vật kêu be be chen lấn nhau về chuồng, tôi bỗng nghe thấy tiếng ai gọi tôi từ phía dưới sườn núi, rồi tôi thấy vị tiểu thư của chúng ta xuất hiện, nhưng không còn vui tươi như lúc ban chiều mà run lập cập vì ướt lạnh và sợ hãi. Có vẻ như là, khi xuống phía lưng chừng sườn núi, nàng đã gặp con suối Sorgue bị nước lũ tràn ngập sau trận mưa giông, và vì nàng muốn lội qua cho bằng được nên suýt bị chết đuối. Nghiệt một nỗi, đêm hôm tối tăm, vào giờ này không mong gì về nông trại được nữa, vì đi đường tắt thì nàng không thể một mình tìm ra lối về, còn tôi thì không thể bỏ đàn cừu mà đi được. Ý nghĩ phải ngủ lại qua đêm trên núi làm nàng rất băn khoăn, vẻ lo âu hiện rõ vì sợ ở nhà bố mẹ lo lắng. Tôi cố lựa lời để nói cho nàng yên tâm :
- Trời tháng bảy, đêm ngắn thôi, cô chủ à... Không sao đâu, cô nên chịu khó một chút cho qua đêm thôi.
Tôi vội vàng nhóm một ngọn lửa lớn để nàng hơ chân và hong khô bộ áo bị ướt sũng khi lội qua suối. Rồi tôi mang sữa tươi và pho mát đến cho nàng, nhưng cô bé đáng thương chẳng thiết gì đến chuyện sưởi ấm hay ăn uống gì cả. Nhìn thấy nàng nước mắt lưng tròng, tôi cũng muốn khóc theo với nàng.
Rồi màn đêm cũng xuống hẳn. Chỉ còn một chút ít vầng dương còn vương lại trên đỉnh núi cao và một làn hơi ánh sáng mong manh ở phía mặt trời lặn. Tôi muốn để nữ chủ nhân của tôi vào nằm nghỉ bên trong lán. Sau khi trải một tấm da cừu đẹp và mới tinh xuống lớp ổ rơm mới, tôi chúc nàng ngủ ngon, rồi bước ra ngồi ngoài hiên cửa... Xin có trời chứng giám cho tôi, mặc dầu ngọn lửa tình hừng hực bốc cháy trong lòng nhưng tôi không hề có một ý tưởng xấu xa nào, trong lòng tự cảm thấy rất hãnh diện khi nghĩ đến ở góc lán bên kia, ngay cạnh đàn cừu đang tò mò nhìn nàng ngủ, có cô con gái của ông bà chủ tôi – như một con cừu non quý báu nhất và trắng ngần nhất – đang nằm ngủ và được giao phó cho tôi canh gác. Chưa bao giờ tôi được nhìn ngắm bầu trời sâu thăm thẳm và các vì tinh tú rực sáng lấp lánh như đêm nay...
Bỗng tấm chấn song xịch mở và nàng Stéphanette xinh đẹp xuất hiện bước ra. Nàng không tài nào ngủ được vì đàn cừu cựa quậy khiến rơm rạ kêu sột soạt hoặc là chúng kêu be be trong lúc đang ngủ mê. Nàng thích ra ngồi cạnh đống lửa hơn. Thấy vậy, tôi liền khoác tấm da cừu của tôi lên vai nàng, khêu to ngọn lửa, rồi hai chúng tôi ngồi bên cạnh nhau, im lặng không nói năng gì.
Nếu bạn đã từng ngủ qua đêm ngoài trời dưới trăng sao, chắc bạn cũng thừa biết rằng trong khi chúng ta đang ngủ thì cả một thế giới huyền bí đang bừng sống dậy trong thanh vắng và tĩnh mịch. Lúc ấy tiếng suối reo nghe như rõ hơn, những ao hồ thấy có những đốm lửa li ti nhen nhúm lên. Những thần linh của núi rừng đi lại tự do, và trong không gian có những tiếng sột soạt, những tiếng động rất khẻ, tưởng chừng như ta có thể nghe được một cành cây đang chuyển mình vươn dài ra và cỏ cây đang mọc thêm ra. Ban ngày là đời sống của các sinh vật, còn ban đêm là đời sống của các thực vật và sự vật. Nếu chưa quen với những tiếng động ban đêm, có khi làm cho ta sợ hãi... Thế nên vị tiểu thư của chúng ta, cứ mỗi lần nghe thấy một tiếng động dù là rất nhỏ, nàng cũng đã run sợ và lại nép sát vào người tôi. Có một lần, từ phía mặt ao hồ lấp lánh dưới kia, bỗng vọng lên một tiếng hú kéo dài não nuột, ngân vang uốn lượn về phía chúng tôi. Cũng vừa lúc đó một ngôi sao băng rực sáng xẹt qua trên đầu chúng tôi và bay về cùng một hướng, tựa như là tiếng than van mà chúng tôi vừa nghe thấy kia đã mang theo một luồng ánh sáng vậy.
- Cái gì thế ? nàng Stéphanette khe khẽ hỏi tôi.
- Thưa cô, đó là một linh hồn vừa được lên thiên đàng. Nói xong tôi làm dấu thánh giá.
Nàng cũng làm dấu như tôi và ngửa cổ nhìn lên trời như thế một hồi lâu, vẻ mặt trầm ngâm. Rồi nàng quay lại hỏi tôi :
- Này mục đồng, có phải các anh đều là phù thủy cả không ?
- Thưa cô, không phải đâu ạ ! Nhưng vì ở đây chúng tôi sống gần trăng sao hơn những người dưới đồng bằng nên biết rõ hơn những sự việc xảy ra ở trên trời.
Nàng vẫn đưa mắt ngước lên nhìn bầu trời, đầu dựa vào lòng bàn tay, vai khoác tấm da cừu, trông cô nàng giống như một mục đồng của nhà trời vậy.
- Ồ, nhiều sao quá ! Thật là tuyệt vời ! Chưa bao giờ tôi thấy nhiều tinh tú như thế này. Mục đồng ơi, thế anh có biết tên của những vì sao không ?
- Biết chứ ạ, thưa cô chủ. Này nhé, ngay trên đầu chúng ta, kìa là Con đường của thánh Jacques (la Voie lactée, dải Ngân Hà) (3). Nó chạy thẳng một mạch từ nước Pháp sang nước Tây Ban Nha, do chính thánh Jacques de Galice (4) đã vạch ra để chỉ đường cho Charlemagne dũng cảm tiến quân đánh giặc Sarrasins (5). Xa hơn chút nữa là Chiếc xe chở linh hồn (la Grande Ourse, sao Bắc Đẩu) với bốn trục xe sáng ngời. Ba ngôi sao đi phía trước là Ba con vật (les Trois Bêtes) kéo xe, và ngôi sao nhỏ nhất ở ngay sát ngôi sao thứ ba là Người đánh xe (le Charretier). Cô có thấy chung quanh có một chùm sao rơi rụng như mưa sa không ? Đấy là những linh hồn mà Thượng Đế không muốn chúng ở cạnh Ngài... Rồi ở phía dưới một chút là sao Bừa cào (le Râteau), còn gọi là Ba ông vua (Orion, sao Sâm). Đó là chiếc đồng hồ của mục đồng chúng tôi để biết được giờ giấc. Chỉ cần nhìn chúng là tôi biết bây giờ đã quá nửa đêm rồi. Phía dưới một chút nữa, vẫn theo hướng Nam, là ngôi sao Jean de Milan (6) sáng ngời, ngọn đuốc của các vì tinh tú (Sirius). Về ngôi sao đó, mục đồng chúng tôi thường kể chuyện như sau : vào một đêm nọ, Jean de Milan cùng Ba ông vua và sao Rua (la Poussinière, la Pléiade) (7) được mời đến dự lễ cưới của một ngôi sao bạn. Theo lời người ta kể, sao Rua vội vã đi trước, theo con đường ở phía trên. Cô nhìn xem kìa, ngôi sao ấy ở chỗ cao tít tận cuối trời kia. Ba ông vua đi đường tắt phía dưới nên đuổi kịp, riêng anh chàng Jean de Milan vì lười biếng ngủ quên nên bị bỏ lại đằng sau. Anh ta bực mình liền quăng ngay chiếc gậy để cản đường họ. Bởi thế nên người ta còn gọi chòm sao Ba ông vua là Chiếc gậy của Jean de Milan... Nhưng cô chủ ạ, ngôi sao đẹp nhất trong tất cả những vì sao lại là ngôi sao của chúng tôi, đó là sao Mục đồng (Étoile du Berger), nó soi đường cho chúng tôi lùa đàn súc vật ra bãi lúc bình minh và xua chúng về chuồng lúc hoàng hôn. Chúng tôi còn gọi ngôi sao ấy là Maguelonne, nàng Maguelonne xinh đẹp chạy theo chàng Pierre de Provence(Saturne, Thổ Tinh) và cứ bảy năm một lần lại kết hôn với chàng.
- Thế vậy hả ? Lại có chuyện các vì sao cưới hỏi nhau nữa cơ à ?
- Có chứ ạ, thưa cô chủ.

Và trong khi tôi đang cố giải thích cho nàng thế nào là những hôn lễ của các vì sao, thì tôi cảm thấy như có vật gì tươi mát và mịn màng đè nhẹ lên vai tôi. Thì ra đầu nàng, nặng trĩu vì buồn ngủ, đã tựa vào vai tôi với tiếng sột soạt êm ái của những dải đăng ten và mái tóc gợn sóng của nàng. Nàng ngồi yên không nhúc nhích, đầu tựa vào vai tôi như thế cho đến khi những vì sao bắt đầu lu mờ dần và nhoà đi trong những tia sáng đầu tiên của buổi ban mai. Còn tôi, tôi nhìn nàng ngủ, trong đáy lòng hơi xao xuyến một chút, nhưng vẫn giữ được sự thanh khiết của tâm hồn vì đêm sao sáng như thế kia bao giờ cũng đem lại cho tôi những ý nghĩ cao đẹp. Chung quanh chúng tôi, ngàn sao vẫn tiếp tục cuộc hành trình thầm lặng, ngoan ngoãn như một đàn cừu vĩ đại, và đôi lúc tôi có cảm tưởng như một trong những ngôi sao kia, ngôi sao thanh tú nhất, sáng ngời nhất, vì lạc mất đường đã đến tựa đầu vào vai tôi và ngủ giấc yên lành...



-VIEW :Les lettres de mon moulin_Alphonse Daudet _PDF



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LE PETIT PRINCE _Antoine de Saint-Exupéry._pdf





Hoàng tử bé ( Le Petit Prince)_,pdf
 được xuất bản năm 1943, là tiểu thuyết nổi tiếng nhất của nhà văn và phi công Pháp Antoine de Saint-Exupéry.




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     Aphrodite:Goddess of love, beauty and sexuality

Une femme est l'amour
Une femme est l'amour, la gloire et l'espérance ;
Aux enfants qu'elle guide, à l'homme consolé,
Elle élève le coeur et calme la souffrance,
Comme un esprit des cieux sur la terre exilé.
Courbé par le travail ou par la destinée,
L'homme à sa voix s'élève et son front s'éclaircit ;
Toujours impatient dans sa course bornée,
Un sourire le dompte et son coeur s'adoucit.
Dans ce siècle de fer la gloire est incertaine :
Bien longtemps à l'attendre il faut se résigner.
Mais qui n'aimerait pas, dans sa grâce sereine,
La beauté qui la donne ou qui la fait gagner.
Gérard de Nerval
 
 
 

Ne faites jamais pleurer une femme car Dieu compte ses larmes

Messieurs ne faîtes jamais pleurer une femme.

Messieurs ne faîtes jamais pleurer une femme.

Il est écrit dans le Talmud des Hébreux, un livre où les écrits des Rabbins sont compilés à travers les âges...

A la fin du livre il est dit:

<< Soyez très prudent avant de faire pleurer une femme, car Dieu compte leurs larmes!>>
<< La femme est venue de la nervure de l'homme.
Non pas de ses pieds pour être un pas au dessus.
Non plus de sa tête pour être supérieure.
Mais de sa côte... pour être son égale.
Elle doit être placée, sous votre bras pour être protégée.
Et sous le côté de votre coeur... pour être aimée.>>


Alors messieurs, réfléchissez avant de faire pleurer une femme,
car aucune femme ne mérite qu'on la fasse pleurer 
et n'oubliez pas que dans un avenir plus ou moins proche, 
vous devrez rendre des comptes devant l'éternel, 
de tout le mal que vous aurez fait sur cette terre !!!

Et n'oubliez pas non plus que par la gentillesse et la tendresse
vous obtiendrez tout d'une femme, par la trahison ou la méchanceté,
vous n'obtiendrez rien du tout, les seules choses que vous risquez d'obtenir,
c'est la perte de l'estime qu'elle a encore pour vous, la perte de confiance
et surtout la perte de son amour. 

Même si elle ne vous quitte pas, chaque déception et chaque cicatrice du cœur, laissent des marques indélébiles et bien souvent les sentiments diminuent irréversiblement.

Alors je vous laisse méditer là-dessus !

Paroles de femme.




"A Woman"
This is written in the Hebrew Talmud, the book where all of the sayings and preaching of Rabbis are conserved over time.
It says:

"Be very careful if you make a woman
cry, because God counts her tears. The woman
came out of a man's rib. Not from his feet to be
walked on. Not from his head to be superior, but
from the side to be equal. Under the arm to be
protected, and next to the heart to be loved."




L’UNIQUE DÉFAUT DE LA FEMME 

Au moment où Dieu créa la Femme, il était dans son sixième jour de travail. Un ange apparut et demanda : 

"Pourquoi passes-tu autant de temps sur celle-là ?" 

Et Dieu répondit : 

"As-tu vu ma feuille de spécifications pour elle ? Il faut qu’elle soit complètement lavable, mais pas en plastique, qu’elle ait plus de 200 parties qui bougent, toutes remplaçables et qu’elle puisse fonctionner avec du Coca Light et les restes du dîner, qu’elle ait des genoux qui puissent accueillir quatre enfants en même temps, qu’elle ait un bisou qui puisse tout guérir que ce soit un genou écorché ou un coeur brisé et qu’elle fasse tout uniquement avec deux mains." 

L’ange était étonné qu’il y ait autant de spécifications. "Uniquement deux mains ? Impossible ! Et celle-ci n’est que le modèle courant ? 

Cela fait trop de travail pour une journée. Attends demain pour finir." "Mais je ne le ferai pas" protesta Dieu. "Je suis si près de finir cette création qui me tient à coeur. 

Déjà elle sait se guérir lorsqu’elle est malade et peut travailler 18 heures par jour." 

L’ange s’approcha et toucha la Femme. 

"Mais Dieu, tu l’as créée si douce." "Elle est douce", accorda Dieu, "mais je l’ai également créée forte. Tu n’as aucune idée de ce qu’elle peut endurer ni accomplir." 

"Saura-t-elle réfléchir ?", demanda l’ange. 

Le Seigneur répondit : "Non seulement elle sera capable de réfléchir, mais elle sera capable de raisonner et de négocier." 

L’ange remarqua ensuite quelque chose et, tendant la main, toucha la joue de la Femme. "Oh la la, il semblerait que ce modèle-là ait une fissure. Je te l’avais dit que tu essayais d’en mettre trop dans ce modèle." "Ceci n’est pas une fissure", corrigea le Seigneur, "c’est une larme !" "À quoi sert-elle la larme ?" demanda l’ange. 

Le Seigneur dit : "La larme est sa façon d’exprimer sa joie, sa peine, sa douleur, sa déception, son amour, sa solitude, son deuil et sa fierté." 

L’ange était impressionné. "Mon Seigneur, tu es un génie. Tu as pensé à tout ! 

La Femme est si extraordinaire !" Et elle l’est ! 

Les Femmes ont des forces qui étonnent les hommes. 

Elles traversent des épreuves et elles portent des fardeaux, mais elles contiennent du bonheur, de l’amour et de la joie. Elles sourient quand elles ont, en réalité, envie de hurler. 

Elles chantent quand elles veulent pleurer. Elles pleurent lorsqu’elles sont contentes et rigolent lorsqu’elles sont nerveuses. Elles se battent pour défendre leurs croyances. Elles prennent position contre l’injustice. 

Elles n’acceptent pas un "non" lorsqu’elles croient qu’une meilleure solution existe. 

Elles se privent pour que leur famille puisse en avoir. 

Elles accompagnent un(e) ami(e) terrorisé(e) chez le médecin. Elles aiment sans condition. Elles pleurent lorsque leurs enfants se surpassent et se réjouissent lorsque leurs amis obtiennent des récompenses. Elles sont contentes à l’annonce d’une naissance ou d’un mariage. Elles ont leur coeur brisé au décès d’un ami. 

Elles pleurent la perte d’un membre de la famille, et malgré tout, sont si fortes alors qu’elles pensent n’avoir plus de forces. 

Elles savent que le fait d’être serré dans les bras ou de recevoir un bisou peut guérir un coeur brisé. Les Femmes sont de toutes formes, tailles et couleurs. 

Elles prendront le volant, voleront, marcheront, courront ou vous enverront un courriel pour vous montrez combien vous comptez pour elles. 

Le coeur d’une Femme est ce qui fait tourner le monde. 

Elles apportent de la joie, de l’espoir et de l’amour. 

Elles ont de la compassion et des idéaux. Elles donnent du soutien moral à leurs famille et amis. 

Les Femmes ont des choses vitales à dire et tout à donner. 

Néanmoins, 

S’IL N’EXISTE QU’UN DEFAUT CHEZ LES FEMMES, C’EST QU’ELLES OUBLIENT LEUR VALEUR


The only fault of the woman.

When God created woman he was on his sixth day of work 
An angel appeared and asked, "why so much time passes you on this one?" 
And God said: "have you seen my spec sheet for it 
It has to be completely washable, but not plastic 
it has more than 200 parts that move, all replaceable and 
it can run on diet coke and leftovers from dinner 
she has knees that can accommodate 4 children at the same time 
it has a kiss that can cure anything, whether a skinned knee or a broken heart 
she does everything with only two hands " 
the angel replied, "not expect tomorrow to finish"! 
" But I will not do it "God protested" I'm so close to finishing this creation that is dear to my heart. 
Already she can heal when sick and can work 18 hours per day. " 
And the angel came and touched the woman. "God, you've created so sweet." 
"She is soft," God gave, but I also creates strong. 
You have no idea what she can endure or accomplish. " 
"will you consider it?" asked the angel. 
Lord replied, "not only will be able to think ... but 
she will be able to reason and negotiate. " 
The angel then noticed something, and tending the hand, touched the woman's cheek. 
"Oh la la, I think this model there is a crack. 
I told you that you were trying to put too much into this model. " 
"this is not this is a crack, tear! " 
What is tear "" seeks angel 
The Lord said: "This is her way of expressing her joy, her sorrow, her pain 
her disappointment, her love , her loneliness his grief , his pride. " 
The angel was impressed. "My lord you're a génie.Tu have thought of everything! 
woman is so extraordinary "! 
"she did! Women have strengths that amaze men. 
they go through hardships and they carry burdens are 
but contain happiness, love, and joy. 
They smile when they in fact want to scream. 
They sing when they want to cry. 
They cry when her happy and laugh when they are nervous. 
They are fighting to defend their beliefs. 
they take a stand against injustice. 
They do not take "no" when they believe that a better solution exists 
They deprive themselves for their family can have. 
They accompany a (e) friend (e) terrorized (e) the doctor 
They love unconditionally 
They cry when their children excel and rejoice when 
their friends get rewards. 
They are happy to announce a birth or a wedding
they have broken the heart death of a friend. 
they mourn the loss of a family member and yet are strong 
so that they think they have more strength. 
they know that being tight in the arms or receiving a kiss 
can heal a heart brisé.Les women come in all shapes, sizes, and colors 
they take the wheel, steal, walk, accrue or send a mail 
to show you how you intend for them. 
The heart of a woman is what makes the world go round. 
They bring joy, hope, love. 
They have compassion and ideals. 
They give moral support to their family and friends 
Women have vital things to say and everything to give. 
however, 
IF THERE IS A FAULT IN WOMEN 
THEY FORGET THEIR VALUE. (author unknown )




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